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Transition locataire-propriétaire : qu'est-ce-qui-change ?

Transition locataire-propriétaire : qu'est-ce-qui-change ?

Pour beaucoup de locataires, devenir propriétaire demeure un objectif à plus ou moins long terme selon les capacités financières de chacun.

Plutôt que de payer des loyers qui partent en fumée mois après mois, la plupart aspire à posséder enfin un « chez soi », synonyme de confort de vie, de liberté de choix et d’investissement sur l’avenir.

Une telle décision, si bénéfique soit-elle, n’est pas sans conséquence en termes de coûts, d’assurances et d’obligations légales. Des changements qui n’ont rien d’insurmontable, certes, mais également rien d’anodin. Pour vous aider à avoir les idées claires, voici tout ce qu’il faut savoir avant d’intégrer le cercle vertueux des heureux propriétaires.

 

Se sentir chez soi, déjà, ça change la vie !

Et en mieux, évidemment. Pour s’en convaincre définitivement, il suffit de prendre une feuille, de tracer deux colonnes « avantages » et « inconvénients » puis de lister les conséquences positives et négatives du passage au statut de propriétaire. Très vite, vous constaterez que les bienfaits s’accumulent avec une écrasante majorité. Tout d’abord, fini les loyers et l’argent dépensé à perte ! Même si vous avez dû souscrire un crédit immobilier pour accéder à la propriété, les mensualités que vous remboursez sont désormais à considérer comme des placements judicieux, puisqu’elles vous permettent d’acquérir votre habitation.

Très souvent, investir dans un bien immobilier représente la garantie d’une plus-value avec le temps qui passe. Si vous entretenez régulièrement votre patrimoine et que la qualité de l’environnement dans lequel il est implanté s’améliore au fil des années, sa valeur ne pourra que sensiblement augmenter. En plus de vous offrir l’opportunité d’aménager votre cadre de vie comme vous le désirez, posséder son logement permet aussi de disposer d’un important capital. Un bien précieux pour pérenniser dans le temps votre équilibre personnel et familial.

L’ensemble des études et autres sondages évoquant le sujet sont sans équivoque : les propriétaires affirment se sentir plus heureux que les locataires. Les causes sont multiples, mais certains sentiments sont davantage mis en avant que d’autres. On citera notamment les impressions de mieux contrôler son existence, de bénéficier d’une réelle indépendance, de s’ancrer durablement dans un environnement épanouissant ou encore de vivre plus intensément son quotidien tout en prévoyant l’avenir.

 

Comment franchir en douceur le cap menant vers la propriété ?

Afin de mener à bien l’acquisition de votre résidence principale, il est essentiel de prendre le temps de la préparer minutieusement. Parce qu’elle représente souvent le projet d’une vie, vous devez avant tout étudier de très près votre situation personnelle, familiale et professionnelle. Et avec toute l’objectivité et la pertinence qu’un tel bilan requiert, cela va de soi. Une fois votre projet immobilier défini et appréhendé sous différents aspects (agrandissement de la famille, modulation de l’habitat, proximité avec les proches, évolution professionnelle…), le temps est venu de faire le tour de vos moyens financiers.

Avant de solliciter une banque ou un courtier spécialisé dans l’immobilier, la première chose à faire est de calculer vous-mêmes votre capacité d’emprunt : niveau d’épargne, état des comptes bancaires, apport personnel, reste à vivre actuel et futur, autres investissements à prévoir ou encore endettement. De quoi vous faire une idée assez précise de votre budget d’achat et donc, de sa faisabilité ou non. Si, par exemple, l’importance de vos dettes constitue un frein à votre volonté d’accéder à la propriété, vous pourrez anticiper la problématique en optant d’abord pour un regroupement de crédits, ce qui aura pour effet de diminuer plus rapidement votre taux d’endettement.

Outre les coups de pouce financiers pouvant être apportés par vos proches les plus généreux et aimants, les primo-accédants peuvent profiter de plusieurs aides (sous conditions de ressources) telles que le prêt à taux zéro (PTZ ou éco-PTZ), le prêt Action Logement (ex 1% Logement), le prêt Social Location Accession (PSLA), celui du Compte Épargne Logement (CEL) ou encore le prêt à l’Accession Sociale (PAS), qui permet aux locataires bénéficiaires des aides au logement de continuer à les percevoir une fois devenus propriétaires. Possiblement cumulables les uns avec les autres, ces dispositifs n’ont qu’un objectif commun : faciliter l’accès à la propriété de tous les Français, y compris les plus modestes.

La dernière chose à anticiper est l’ensemble des frais annexes engendrés par l’acquisition de votre nouveau « chez vous », c’est-à-dire toutes les dépenses venant s’ajouter aux côtés du seul prix d’achat. Entre les frais de notaire, d’agence et de déménagement, la fiscalité, les charges et les assurances (habitation, prêt immobilier), mieux vaut ne rien oublier au moment de faire vos calculs.

 

Assurez-vous d'être un heureux propriétaire !

Pour garantir votre protection, mais aussi celle de votre famille et de vos biens, s’offrir la couverture d’une assurance multirisques habitation (MRH) et d’une assurance de prêt immobilier, lorsque vous empruntez pour viabiliser votre projet, demeure un passage obligé. Pas sur le plan légal, certes. Mais en cas de sinistre (vol, incendie, dégât des eaux, dégradation…) ou d’accident de la vie (chômage, invalidité, décès…), elles deviendront indispensables pour être indemnisé correctement ou pour couvrir d’éventuels dommages que vous pourriez causer à autrui. En résumé, s’en priver représente clairement un trop grand risque au regard des faibles économies réalisées.

À propos d’argent économisé, sachez qu’il n’est jamais trop tard pour changer d’assurance de prêt immobilier, surtout si celle-ci vous a été imposée par l’organisme financier au sein duquel vous avez souscrit votre crédit. Depuis 2018, un emprunteur a la possibilité d’aller voir ailleurs quand bon lui semble durant la première année du prêt, du moment que le nouveau contrat d’assurance est au moins équivalent à l’ancien en termes de garanties. Après un an d’assurance, il pourra changer à date anniversaire de son prêt. Résultat, vous pouvez désormais faire jouer à plein la concurrence afin de bénéficier de la meilleure protection possible.

Chez FLOA, nous nous alignons automatiquement sur les exigences de votre établissement prêteur tout en vous proposant des tarifs compétitifs par rapport à ceux pratiqués dans les organismes bancaires traditionnels. Et pour couronner le tout, justement, on s’occupe de tout : de la résiliation du contrat d’assurance auprès de votre banque jusqu’à la mise en place de la première échéance, vous n’avez aucune démarche à faire, tandis que votre pouvoir d’achat vous remerciera mois après mois.

De son côté, notre assurance habitation n’est pas en reste avec des formules modulables en fonction de votre profil personnel et de la typologie de votre bien. Grâce à l’inclusion de la responsabilité civile, en plus de la protection de votre habitation et de vos effets personnels, vous êtes couvert lorsque vous êtes responsable ou à l’origine de dommages subis par des tiers, que le sinistre ait lieu chez vous, chez eux ou ailleurs. Bref, pour jouir à 100% de votre statut de propriétaire, pensez à vous munir de toutes les clés du bonheur !

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